![](https://static.wixstatic.com/media/edb764_525e04500cbf4665b74aab762adf8ee4.png/v1/fill/w_139,h_194,al_c,q_85,usm_0.66_1.00_0.01,enc_auto/edb764_525e04500cbf4665b74aab762adf8ee4.png)
C'est votre histoire
Française en Amérique
Publiée par André Leroux Membre de la Société généalogique canadienne-française. janvier 2018
![](https://static.wixstatic.com/media/edb764_525e04500cbf4665b74aab762adf8ee4.png/v1/fill/w_168,h_235,al_c,q_85,enc_auto/edb764_525e04500cbf4665b74aab762adf8ee4.png)
Famille Dufault
Gilles-François Dufault
Soldat de la Compagnie de Sorel, régiment de Carignan.
Dufaut dit Le Breton, Gilles :
Fils de Pierre Du Faut et de Marie Riont (Rioux pour Drouin), de Châteauneuf-Du-Faou, ar. Châteaulin, évêché de Cornouailles
en Bretagne (Finistère).
Il est confirmé le 2 juin 1666 à Sorel.
Charpentier de métier, il construit plusieurs maisons
dans la région de Sorel.
Le 24 juin 1678, il contracte mariage sous seing privé à Sorel, avec Françoise Siméon (Simon pour Drouin), Fille du Roy,
fille de feu Pierre Siméon et de Marie Gervaise,
de Magny-en-Vexin, archevêché de Rouen en Haute-Normandie
( Seine-Maritime ) et veuve d’un compagnon d’armes,
Claude Cognac dit Lajeunesse.
Après son mariage, il va s’établir à Boucherville.
Le sieur Pierre Boucher lui concède une terre de cent arpents
en superficie le 6 février 1680.
Au recensement de 1681, on le nomme Gilles Dufayet
et possède une arme à feu et deux bêtes à cornes.
En 1688, il quitte Boucherville pour Québec,
son épouse étant hospitalisée à cet endroit.
Cette dernière décède à Québec le 15 mai 1699.
Il quitte alors la région de Québec pour Saint-Antoine de Tilly
et Champlain. C’est à cet endroit qu’il décède le 2 et est inhumé
le 4 mars 1706 Champlain.
(Tanguay, vol.1, p.209; Jetté, p.376; Drouin, vol.1, p.440, 289; Sulte, Hist., vol.5, p.73 (3); DBAQ, t2, p.134-135; Langlois, p.307